L'histoire de Republikgrad

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Recker_80
Sauveur de Noël 2018
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L'histoire de Republikgrad

Message par Recker_80 »

Chapitre 1 : Les sauvages

Bonjour, je me présente, Recker. Je suis actuellement Maire Président fédéral Premier secrétaire du parti impérial de Républikgrad. Je vais aujourd'hui vous expliquer comment je suis parvenu au sommet de ce qui n'été qu'un lieu dit. Quand je suis arrivé, j'étais un officier de police des "Forces de Sécurité Privé". Une société de sécurité privé basé dans un paradis fiscal: les îles du Soleil Azuré. Quand ces îles furent détruite par explosion, j'étais en poste dans une autre ville. Quand j'ai voulut reprendre le bateau, on me raconta tout ce qui c'étais passé. Je me souvient du désespoirs qui m'envahit. Je quitta cette ville et je me réfugia dans une auberge perdu au milieu de nul part. C'est après que le patron me chassa car je ne pouvais plus payer que je trouva refuge chez des "sauvages". Je n'avais jamais vu des créatures comme eux. Il faisait la même taille que les humains mais ils avaient un nez plus long et avaient toujours les bras croisés. Ils vivaient dans un petit villages avec quelques bicoques en bois et cailloux. Seul l'église tranchait dans le décors, car elle, était faites de pierres. Ce village étais le reflet de leur société. En effet, elle aussi était primitif: chacun de ces sauvages avait un rôle et le troc était roi (pas d'argent ?!). Il y avait un forgerons, un marchant généraliste, plusieurs fermiers et un prêtres. Ils se nourrissaient de pain et de carottes cultivés autour du village. Il n'y avait pas de chef, ils prenaient toutes les décisions importantes en se réunissant tous autour du puits central du village tout les soir une demie heure après le travail. Je compris le lendemain de mon arrivé que ces êtres primitifs vénérés une sorte d'idole "Admin"; sorte de Dieu tout puissant. Après quelques jours, je suis devenu Constructeur. C'est moi qui entretenait le village, ces maison et ces infrastructures (c'est un bien grand mot, des chemins en cailloux).Après quelques jours je réunit le seul sauvage pour lequel je ressentait du respect, il se nommait "Un". Drôle de prénom mais volonté de puissance immense. Nous nous sommes connut alors que j'entretenait un chemin et lui, un fermier m'a dit "Si seulement les autres pouvait se bouger pour qu'on ait des routes digne de ce nom". Sur ces mots, je me releva et lui demanda pourquoi il avait dit cela. Un que j'avait surnommé "Le rouge" du au fait que dès qu'il s'énervait, il devenait rouge. Et il s'énervait souvent. Le Rouge me confia qu'un jour, un visiteur humain était venu faire du commerce ici. Ces sauvages étaient de bon commerçant. Et ce visiteur lui confia que de là d'où il venait les routes étaient en pierre et que la ville bouillonnée de vie. Je lui donna rendez-vous un soir au abord de la ville et je lui raconta toute mon histoire n lui détaillant la grandeur et la beauté des îles du Soleil Azuré ainsi que nos liens avec une nation encore plus grande : Le Karaz.

Chapitre 2 : Une nouvelle idée

Le rouge me confia être très intéressé par cette nation. Nous primes tout les deux la décision d'aller visité cette ville un jour. Nous l'avions même juré à l'époque. Ce n'est que 5 semaines plus tard qu'une fenêtres s'ouvrit. En effet, si ces sauvages aimé le contact commerciale, ces derniers détestaient qu'un membre de la communauté ailles voir ailleurs. Sans doutes que ce dernier se rendrait compte du retard civilisationnel qu'avait ces êtres sans grandeur ni puissance. C'est pourquoi Le Rouge et Moi même sommes partie une nuit particulièrement obscure. Nous arrivâmes vite à l'Océan puis nous avons prit un navire direction le Karaz. Une fois arrivé, nous avons passés tout les deux la meilleurs semaines de notre vie au coter des nains. Pour payer tout ça, nous avions vendu discrètement pendant les semaines qui précédaient notre départ des carottes contre de l'or à un marchant ambulant. C'est ce dernier qui nous a ensuite ramené au village après ce périple.

Chapitre 3 : Le début d'une nouvelle aire

Les nains nous avaient inculqué les bases de leur doctrine politique et économique. Sans eux ni Le Rouge ni moi n’aurions été capable de faire ce que nous avons fait par la suite. Le Rouge était devenu un véritable intellectuel. Durant les mois qui suivirent, je construit une maison pour que Le Rouge et moi puissions fomenter nos plans sans éveiller les soupçons. C'est durant l'hiver que tout s’accéléra. Le Rouge avait fini son premier livre nommé "Révolution modulienne". Dans ce livre qu'aujourd'hui tout les habitants de Republikgrad doivent connaitre, Le Rouge y développa notre vision de la société, notre doctrine politique, religieuse et économie. Et enfin comment prendre le pouvoir. Il fallait un coup d'état rapide et vite mater les contestataires. Mais contre qui faire un coup d'état ? Il n'y avait pas de chef. C'est au printemps, après avoir diffusé dans la population lettré (le prêtre et le marchant généraliste; les seuls "notables" du village) que je ressortie d'un coffre mon équipement de sécurité et surtout mon fusil et ses quelques cartouches. Une fois armée, je me rendis sur la place centrale du village à l'heure où toute la communauté se réunissait. Je tira une des cinq balles de mon fusils. Tout les sauvages s’approchèrent de moi. Un fermier me demanda ce que c'était. Je lui répondit sèchement "C'est un fusil, ça tire des balles et si ça vous touche, vous êtes morts !" un silence pesant se fit sentir après mon intervention. Je rajouta donc pour bien faire comprendre à tous que maintenant c'était moi le maître : "J'ai assez de balle pour tous vous tuer !". Je m'avança vers le puits qui me donna un parfais pied d'estalle. Je dis alors "Je suis à présent le maître de ce village, Le Rouge sera mon second. Vous ferez tout ce que je veux, quand je le dirait sans discuter." Tout les sauvages acquiescèrent. C'est au moment que je fini ma phrase que le marchant sorti un arc et me visa. Il dit d'un ton d'une rare assurance chez lui "Notre société est une société de paix, de partage et d’accueil. Tu ne peut pas être le chef, ici chacun est libre et les décision se prennent avec l'ensemble de la communauté".Il tourna ensuite son arme primitif vers le Rouge et lui dit tristement "Toi, pourquoi ? Ne trahit pas les tiens, s'il te plait". Les autres sauvages avaient fuit depuis longtemps et se terrer dans leur maison en regardant de loin ce qui se tramait. Je venais de bondir pour me mettre à l'abris derrière le puits quand le marchant décocha sa flèche qui tua sur le coup Le Rouge. Je tira alors deux ou trois balles je ne sais plus. Le marchant s'effondra et sa tunique devint rouge. Le Rouge lui, pendant ce temps, saignait abondamment. Je compris alors qu'il venait de mourir. J'eu alors une rage énorme en moi. Je me saisit de mon arme et rechargea. Je me dirigea vers la maison du prêtre et l'attacha au puits. Je fis ensuite sortir chaque sauvage de sa maison et les rassembla autour du puits. je libéra alors le prêtre de ces liens. Je le fis se mettre à genoux et lui mit une balle dans la nuque. Je dis ensuite avec une voix extrêmement autoritaire "Quiconque s'oppose à moi connaîtra le même sort".

Chapitre 4 : Republikgard est né

Les jours suivant ce déroulèrent sans accro. Je construisit un entrepôt et tout ce que ces sauvages produisait, je le redistribuais à ceux qui en avait besoin. Par exemple le forgerons faisait une houe, me la donnais, je la donnais donc au fermier qui en avait le plus la nécessité. Et c'est moi qui choisissait qui en avait le plus besoin. J'étais l'Etat et même plus, j'étais la société toute entière ! Pour être en accord avec les thèses de mon ami Le Rouge, je créa le Parti Impérial. En Effet, Le Rouge pensais que pour encadrer la société, après le coup d'état réalisé uniquement par un nombre réduit de personne, il faut officialiser le contrôle en mettant fin à la dictature et en incorporant le peuple dans la vie politique. Pour réaliser cela, il faut un parti. Pour rendre hommage à l'Empire du Karaz; je le nomma Parti Impérial. Bien sur j'en nommerai son Premier secrétaire. Voila pourquoi j'ai le rôle informel de Premier secrétaire, car c'est moi qui le nomme. Vous savez maintenant comment je suis devenu Maire, premier secrétaire du Parti Impérial. Mais pourquoi "Président fédéral" ? C'est assez simple, peu de temps après la mise en place du Parti Impérial, de la création de l'Armée Populaire, servant de bras armé à mon pouvoir; je compris vite la nécessité d'encore plus impliquer mes habitants dans le processus de décision dans la société. Pour ce faire je créa l'Assemblé du Peuple, cette dernière composé de 15 Membres devait donner son accord à la majorité absolu pour toute lois que je voulais faire appliquée. Cette assemblée était élu directement par tout les habitants de ce qui est passé en quelques mois d'un petit village de sauvages à une véritable ville prospère peuplé d'Habitants éduqués. C'est après une réforme de l'administration que je prit le rôle informel de président fédéral car l'assemblé élisait avant cette réforme un président qui faisait l'agenda des votes et les autres formalités. Sauf qu'avec cette réforme, ce rôle revint au Maire. Et "Fédéral" car je comprit la nécessite de faire de Republikgrad, une fédération, avec un ensemble de zone conquise sur la nature dirigé par soit des Consuls nommait par le Maire, des princes électeurs issus des premières famille de sauvages venant des villages alentours et venu s'installé après ma prise de pouvoir . Ou bien des gouverneurs militaires. En effet l'Armée populaire joua un grand rôle dans la conquête et la pacifications des 3 Villages situé à proximité immédiate. Une fois toutes cette zones conquise. Une muraille fut élevée pour nous protéger des menaces extérieurs. Vint enfin l'ultime réforme qui a mit en place toutes les institutions et le fonctionnement de Republikgrad.

Fin.
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